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"Jouant de sa lame comme d'un levier, il le fit céder et le coquillage s'ouvrit. Les lèvres de chair se crispèrent puis se détendirent. Kino souleva le repli et la perle était là, la grosse perle, parfaite comme une lune. Elle accrochait la lumi[...]texte imprimé
- Naturellement, vous savez ce que c'est, Rieux ? - J'attends le résultat des analyses. - Moi je le sais. Et je n'ai pas besoin d'analyses. J'ai fait une partie de ma carrière en Chine, et j'ai vu quelques cas à Paris, il y a une vingtaine d'ann[...]texte imprimé
La Villa, à l'écart d'une petite ville du sud-ouest de la France ressemble, avec son immense jardin, à un paradis où rien ne peut arriver. C'est bien ce qu'avait voulu le père, un homme juste et sage. Voyant approcher la guerre, il avait quitté [...]texte imprimé
- Mes enfants, a dit le professeur, mes chers petits, mes amis, celui qui ne fera pas ce que je lui dirai de faire... je lui flanque une fessée dont il se souviendra longtemps ! - Vous n'avez pas le droit, a dit quelqu'un, il n'y a que mon papa,[...]texte imprimé
"L'amour, Malaussène, je vous propose l'amour !" L'amour ? J'ai Julie, j'ai Louna, j'ai Thérèse, j'ai Clara, Verdun, le Petit et Jérémy. J'ai Julius et j'ai Belleville... "Entendons-nous bien, mon petit, je ne vous propose pas la botte ; c'est l[...]texte imprimé
Étude approfondie du texte de Jean Genet par un spécialiste de l'œuvre, suivie d'un dossier : chronologie, témoignages, extraits de presse.texte imprimé
"Enfant, quand je m'efforçais de m'exprimer dans un langage châtié, j'avais l'impression de me jeter dans le vide. Une de mes frayeurs imaginaires, avoir un père instituteur qui m'aurait obligée à bien parler sans arrêt, en détachant les mots. O[...]texte imprimé
1979. Paolo et Luisa ne se connaissent pas. À bord du bateau qui les emmène sur l’Île où sont détenus leurs proches, chacun ressasse la tragédie dont il a été victime. Le fils de Paolo a été condamné pour des actes terroristes. Le mari de Luisa [...]texte imprimé
"Pas d'adieu, guapa, parce que nous ne sommes pas séparés. J'espère que tout ira bien dans les gredos. Va maintenant. Va pour de bon. Non", il continuait à parler tranquillement, sagement, tandis que Pilar entraînait la jeune fille. "Ne te retou[...]texte imprimé
«- Tu seras un héros, tu seras général, Gabriele D'Annunzio, Ambassadeur de France - tous ces voyous ne savent pas qui tu es !Je crois que jamais un fils n'a haï sa mère autant que moi, à ce moment-là. Mais, alors que j'essayais de lui expliquer[...]texte imprimé
C'est la seule femme dans cette salle dont les cheveux ne soient pas coupés sur la nuque... L'odeur secrète du dancing, comme celle de 1919, est encore l'odeur doucereuce et fade du sang. Nelly est belle, d'une beauté nettement parisienne. C'st [...]texte imprimé
De temps à autre, il est bon qu'un poète, que n'effraie pas l'air raréfié des cimes, ose s'élever au-dessus du vulgaire pour, dans un souffle épique, exalter notre aujourd'hui. Car ne nous y trompons pas : ces courageux jeunes gens qui, au plus [...]texte imprimé
Le petit garçon a grandi. Lycéen à Paris, il a quinze ans. C'est l'âge de la solitude, des rêves, de l'attente. Un inconnu, Alexandre, entre alors dans sa vie. Le charme slave, la grâce, l'élégance font de lui un être à part. Le narrateur réussi[...]texte imprimé
Nous sommes en 1945-1946, dans un atelier de confection pour dames de la rue de Turenne, à Paris. Il y a là M. Albert, le patron, et sa femme, Léa. Leurs enfants, Raphaël et Betty. Léon le presseur. Les mécaniciens, Maurice, rescapé d'Auschwitz [...]texte imprimé
Le soleil se leva derrière eux, et alors... brusquement ils découvrirent à leurs pieds l'immense vallée. Al freine violemment et s'arrêta au milieu de la route. - Non de Dieu ! Regardez ! s'écria-il. Les vignobles, les vergers, la grande vallée [...]