Titre : | Science & vie junior. Hors série, 116. - février 2016 |
Type de document : | Bulletin |
Paru le : | 01/02/2016 |
Dépouillements
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Révéler la couleur de la peau ou des yeux d'un suspect à partir d'un échantillon d'ADN est déjà à la portée de la police scientifique. Bientôt, on pourrait faire émerger un visage d'une simple trace laissée sur une arme.
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Des logiciels évaluent déjà les risques de délinquance grâce à l'analyse des statistiques criminelles.
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Certaines parties du squelette d'une victime (crâne, tibia, bassin) peuvent parler, même des années après. L'anthropologue peut déterminer le sexe, l'âge, la taille...
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Sabotage, chantage, arnaque, vol, harcèlement, escroqueries en ligne, phishing, cryptolocker, cyber-pédopornographie... Sur Internet, tous les délits ou presque sont commis. Pour la police, pas facile de traquer des délinquants dans cet espace d[...]
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Le crime parfait n'existant pas, il y a toujours des indices sur les lieux : empreintes de doigts ou de pas, balles, ADN... Encore faut-il les repérer, car ils ne sont pas tous visibles à l’œil nu.
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Trajectoire du tir, type d'arme et calibre utilisés, impacts des projectiles... Les experts en balistique font parler de simples fragments de munitions.
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S'il est possible de piéger un menteur grâce à ses mots ou à ses attitudes typiques, le mythe du détecteur infaillible n'existe pas ! Aucune machine ne peut repérer les bobards à coup sûr. Le détecteur de mensonges, ou polygraphe, indique plutôt[...]
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Des abeilles qui pourraient bientôt remplacer les chiens renifleurs d'explosifs.
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Si elle lui permet de fuir, la voiture d'un criminel peut aussi le trahir. Peinture, débris de phare ou gomme de pneu sur le bitume sont autant d'indices exploitables par les experts mécaniciens.
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Face à un décès suspect, le médecin légiste traque les causes de la mort jusque dans les entrailles du défunt. Constats externes, dissection, puis analyse sont les étapes de son travail.
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Comment les enquêteurs d'antan faisaient-ils sans ordinateurs ni ADN ? Réponses à travers plus de cent ans d'évolution des techniques de police scientifique.
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Grâce aux cartouches tirées, les gendarmes ont pu retracer le fil des évènements.
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L'étude des pollens, ou palynologie, aide aussi les enquêteurs à situer géographiquement des éléments d'un délit.
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Les cadavres ne parlent pas... Ils n'en ont pas besoin, les insectes qui les dévorent parlent pour eux, et ils en disent long sur la date de la mort !
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Oriane Dioux, Auteur
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Rien de tel qu'une empreinte digitale pour confondre un coupable. Pourtant, si elles sont uniques, elles ne constituent pas des preuves infaillibles. Découvrez les techniques pour les relever selon le type de support et pour les identifier ensuite.
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Dans les fictions TV, la tâche de la police scientifique semble facile. Mais voici quelques erreurs rectifiées.
Exemplaires(1)
Cote | Section | Localisation | Code-barres | Disponibilité |
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documentaire | CDI | 002173 | Disponible |