Résumé :
|
La mer, à laquelle la Grande-Bretagne, face à l'Europe, a dû jusqu'à présent son inviolabilité militaire et le caractère profondément original, insulaire, de ses institutions et de sa civilisation, n'en a pas été moins aisément franchie. Ces peuples continentaux qui, depuis 1066, sont toujours repoussés dès qu'ils se présentent en masses indésirables, avaient au contraire jusquà cette date utilisé toutes les ressources d'une géographie accueillante pour teminer là leurs errances, leurs entreprises ou leurs tribulations européennes.
|